El escritor presenta 'Hombres buenos', una emocionante aventura de dos académicos en busca de la 'Encyclopédie' en el París de finales del XVIII
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“Hubo un tiempo en el que aún era posible que fuéramos felices, ahora, en cambio, sabemos que ya no podemos serlo, llevamos demasiada desgracia en la mochila”, comenta afligido el académico. “Es triste ver cómo otros países tuvieron sus Voltaire, D’Alembert, Leibniz o Kant, mientras que en España nos tenemos que conformar con el padre Feijoo o Moratín. La razón es que nosotros asfixiamos a nuestros Voltaire en la misma cuna”.
Del origen de ese infortunio patrio versa, en esencia, su última narración, aderezada de intrigas, sobresaltos e incertidumbres marca de la casa. Sus sufridos protagonistas son, esta vez, dos miembros de la Real Academia Española, el bibliotecario don Hermógenes Molina y el almirante don Pedro Zárate, quienes, bajo mandato del resto de miembros de la Docta Casa, han de viajar a París para conseguir de forma casi clandestina los 28 volúmenes de la Encyclopédie de d’Alembert y Diderot, prohibida en España.
_________________ « Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. » Étienne de La Boétie
On est tous solidaires face à la merde à la galère Sortir la tête de la misère pour que les gens nous considèrent En tant que citoyen, non en tant que chien La France nous ronge à un point De ne plus avoir confiance en son prochain Législation conçue pour nous descendre Frères derrière les barreaux et maintenant Ils penseraient que l'on pourrait se rendre On est pas dupes, en plus on est tous chaud Pour mission, exterminer les ministres et les fachos Car de nos jours, ça sert à rien de gueuler, de parler à des murs À croire que le seul moyen de s'faire entendre est de brûler des voitures Un putain de système haineux, cramé mais après tout ça avance pas Et je sais que ça les arrange si on se bouffe entre nous Soit-disante démocratie aux yeux d'un peuple endormi XXXX passage en arabe à retranscrire XX Les droits de l'homme, franchement où ils sont passés Faut faire en somme que ça change et que des frères cessent d'être chassés En charter, c'est nos frères qui jartèrent Rapatriement et maintenant la haine coule dans nos artères Nous faire taire franchement ça serait impossible Quand on s'aperçoit que la plupart du temps, c'est nous qu'ils prennent pour cible
[Refrain: Blacko] La France est une garce et on s'est fait trahir Le système, voilà ce qui nous pousse à les haïr La haine, c'est ce qui rend nos propos vulgaires On nique la France sous une tendance de musique populaire On est d'accord et on se moque des répressions On se fout de la république et de la liberté d'expression Faudrait changer les lois et pouvoir voir Bientôt à l’Élysée des arabes et des noirs au pouvoir
[Couplet 2: Tunisiano] Frère, faut que ça pète ! Tu sais que le système nous marche dessus Nous on baisse pas la tête, on est pas prêt de s'avouer vaincus Des frères béton tous victimes de trahison T'façon si y aurait pas de balance, y'aurait personne en prison La délinquance augmente, même les plus jeunes s'y mettent Pètent des bus, parlent de braquage et à l'école ils rackettent Des rondes de flics, toujours là pour nous pourrir la vie Attendent de te serrer tout seul et te font voir du pays Émeute qui explose, ça commence par interpellation Suivi de coups de bâtons et ça se finit par incarcération T'façon on se démerde, mec ici on survit Fume des substances nocives pour apaiser les ennuis La galère n'arrange rien, au contraire elle empire les choses Si certains prennent des doses, c'est pour pouvoir penser à autre chose Les frères sont armés jusqu'aux dents, tous prêts à faire la guerre Ça va du gun jusqu'au fusil à pompe, pit bull et rottweiler A quoi ça mène, embrouille de cité, on se tape dessus Mais tu te mets à chialer lorsque ton pote se fait tirer dessus Encore un bico ou un négro, les babylons sont fiers Ça les arrange, ce coup là y'aura pas besoin de bavure policière Frère je lance un appel, on est là pour tous niquer Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever
[Refrain]
[Couplet 3: Tunisiano] La France aux Français, tant que j'y serais ce sera impossible Par mesure du possible je viens cracher des faits inadmissibles A vrai dire, les zincs en perdent le sourire Obliger de courir, certains ont eu le malheur de mourir Des homicides volontaires, j'ai une pensé pour leurs mères Blessées par un décès, bavures classées en simple faits divers Contrôle qui part en couilles, des potes s'font serrer par les keufs J'ai le seum lorsque je jette des pavés sur les J9 Mes potes je les aime, c'est pour ça que je les laisserais jamais béton Même si il y en a qui béton, tu le sais on est tous des jeunes du béton A présent y'a plus de bluff, on vient dire toute la vérité Faut leur en faire baver, v'la la seule chose qu'ils ont mérité Ma parole les gars si il y en a un qui se la joue véner S'il veut s'la raconter, cet enfoiré j'vais lui baiser sa mère T'façon j'ai plus rien à perdre, j'aimerais les faire pendre Non c'est pas parce qui porte un flingue qu'il peut penser mettre à l'amende La vérité est masquée, à savoir ce qui s'est passé Le mystère des G.A.V. un blème qui ne pourra être démasqué Je dédis ce texte à toute mes gardes à vue Ils m'en on fait baver les enculés mais ils ont pas tout vu
[Refrain x2]
[Couplet 4: Tunisniano] A 2 ou 3, on reçoit c'est comme ça qu'ça sait pas Contrôle musclé, la BAC passe et demande tes pier-pa Si j'les ai pas, là ça commence par insulter ta mère, ta sœur, tes frères Ça dégénère et tu t'fais pé-ta Tunisiano, la délinquance en moi, la haine en moi Donc s'il faut insulter leurs mères, pour ça ayez confiance en moi Dans la rue, règlement de compte entre Cyril et Mamadou La police est intervenue et a interpellé l'agresseur Dans la rue, règlement de compte entre Badou et Mamadou La police a tout vu et est restée en tant que spectateur Donc est-ce que les gens naissent égaux en droit à l'endroit où ils naissent ? J'crois pas Dans l'fond, j'travaille pour ton pays, m'bat pour ton pays Persécution, alors que j'fais gagner de l'argent à ton pays La France est une garce et on s'est fait trahir Mon seul souhait désormais est de nous voir les envahir Y a trop de faits marquants donc j'suis obligé d'les citer Un flic tue un homme froidement et s'trouve acquitté Simple banalité ? Non, y a trop d'inégalités Justice à deux vitesses, ils assassinent en toute légalité Ils nous croient débiles mais quand ça pète dans les cités Ils canalisent la révolte pour éviter la guerre civile Hé ouais, c'est pour quelle raison qu'on casse tout et qu'on s'défoule C'est qu'si les larmes coulent, le sang coule
La France est une garce, La France est une garce La France est une garce, La France est une garce
Jusqu'à Saint-Denis, on est tous solidaires Garges, Sarcelles aussi, on est tous solidaires On n'est pas prêt d'se taire, lève ton doigt en l'air, l'Etat nique sa mère Dans toutes les cités, on est tous solidaires Quand ça part en couille, on est tous solidaires Négros et bougnouls, on est tous solidaires On n'est pas prêt d'se taire, lève ton doigt en l'air, l'Etat nique sa mère
Registrado: Vie Dic 28, 2012 10:37 pm Mensajes: 26204 Ubicación: Por ahí, de tapaculos
Es pedante y afectado el tal Pérez-Reverte y, aunque no le falta razón en algunas cosas, resulta estomagante el endiosamiento y la vanidad sin límites de este escritor de best-sellers. Una profesión tan respetable como cualquier otra, claro.
_________________ ¡QUEREMOS VIOLAR A LOS BORBONES! (pásalo)
Registrado: Sab Mar 16, 2013 6:42 pm Mensajes: 512
Me parece un escritor muy sobrevalorado y un cuñado de la vida queriendo presentarse como un intelectual que vive en las cumbres de más allá del bien y el mal.
Registrado: Sab Mar 16, 2013 6:42 pm Mensajes: 512
El Maestro Golpeador escribió:
Puto winner de los cojones que le han ido las cosas de puta madre y todavía se queja. ¿ Pero como que no se siente vinculado con España, patria que comparte con sus lectores, los mismos que le han hecho rico leyendo sus novelas ?
He aquí donde se ve la auténtica cara de cemento de este sujeto. Vende un personaje hecho a si mismo, libre, rebelde sin causa, nostálgico de un pasado dorado, cuando es un escritorzuelo sobredimensionado (gracias al apoyo de cierto grupo editorial y sus esbirros del mundillo cultural) y que vive a lomos del billete verde.
¿Como puede tener los santos cojones de pontificar sobre el bien o el mal cuando tiene la puta vida arreglada gracias a la gente que le compra sus libros y a los que luego insulta y descalifica todo el rato?
Registrado: Mié Dic 21, 2005 7:47 pm Mensajes: 51216 Ubicación: New Madrid County, Missouri
Yo a Reverte le perdono todo porque escribió La Sombra del Águila, y no hay un solo libro (salvo Sin noticias de Gurb) que me haya hecho más feliz durante su lectura.
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